|
Nouveau challenge pour Austin Wintory, et nouvelle réussite à l’occasion de cette partition douce-amère aux détails savoureux qui révèle encore une fois le fort investissement du compositeur dans les sujets qu’il aborde. Il n’y a donc rien d’étrange à tomber amoureux de cette musique à la légèreté aussi délicate que touchante. |
|
Attendez-vous en effet à tomber étrangement amoureux de cette musique fleurie dont la légèreté et la fraîcheur, romantiques comme les parfums instrumentaux (guitare, harmonica, accordéon sur fond orchestral), adouciront et feront vibrer les cœurs. Une très belle réussite, une fois encore, de la part de ce compositeur décidément passionnant. |
|
Ça ritournelle et se balade dans nos oreilles bien gentiment et joliment, puis quelques percussions s’emballent pour laisser place aux cordes meugnonnes. C’est vraiment bien écrit, mais ça a malheureusement le défaut de lasser. |
|
Après avoir découvert un Banner Saga et un Assassin’s Creed impressionnants, Wintory nous sort une palette plus intimiste pour une petite comédie romantique. La douceur qui se dégageant de ses orchestrations et des mélodies en fait une écoute agréable. |
|
Étonnante partition romantique, maniant de façon ludique beaucoup de clichés de la musique latine (avec accordéon, guitare) mais aussi l’harmonica… Pas l’instrument le plus sexy ! Wintory exploite ses thèmes avec un petit ensemble et beaucoup d’enthousiasme et on suit avec plaisir cette aventure amoureuse légère, variée, douce-dingue. |
|
Wintory réussit à sortir du carcan des jeux vidéo avec cette comédie romantique. Faisant la part belle à la mélodie, portée par la guitare et l’harmonica au sein d’un ensemble orchestral, la musique part un peu dans toutes les directions. Dommage. |