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De manière très logique au regard du protagoniste principal et de son double magique, l’illustration entière s’articule autour d’un thème unique au romantisme assumé et, il faut le dire, très réussi et prégnant bien après le générique. Dommage que Holkenborg ne se révèle pas plus subtil pour l’habillage textural autour, assez peu intéressant quant à lui.
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Wouah ! Le compositeur a eu la brillante idée de mettre des ambiances arabisantes, permettant ainsi de remplir le vide ! Wouah ! Il tente aussi le romantisme. Bon, l’expérience aurait pu être plaisante avec un autre compositeur. Ici, pas grand-chose à conserver. Encore heureux que l‘album ne dure que 33 minutes.
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La recherche de sonorités uniques est ici à saluer, proposant de beaux passages solo de divers instruments exotiques, rappelant une démarche à la Peter Gabriel/Grame Revell, avec un beau thème principal. Les arrangements autour sonnent par contre trop synthétiques et gras pour moi.
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Sans que je vire junkie pour autant, Tom a su m’attirer dans son paysage chatoyant, 50% soie 50% acrylique. On n’échappe pas aux petites rafales de percussions bouche-trou (histoire de), mais l’atmosphère est évocatrice, la mélodie caresse les chakras, et l’ensemble a la générosité d’être bref. Voilà un de mes souhaits exaucé !
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Ouille ! Holkenborg avait était très inspiré sur Mad Max Fury Road, là hors contexte, j’ai failli m’endormir. Une jolie chanson, et puis… Curieux d’entendre ça avec les images histoire de voir si ça tient la route, mais le film joue dans très peu de cinoches, va falloir attendre la sortie vidéo je crois…
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