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Junkie XL a tout donné sur Mad Max: Fury Road. Résultat, il ne reste pas grand-chose à se mettre sous la dent dans cette bande électro passe-partout d’un conformisme affligeant. L’anti-héros cynique de Marvel méritait certainement autre chose que cet accompagnement d’un triste premier degré. |
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Qu’il s’agisse d’électro pur et dur ou de textures orchestrales, Tom Holkenborg s’égare dans des mixtures plus épaisses et laides que jamais, donnant l’irrépressible impression d’avoir torché ça vite fait mal fait juste après Mad Max. Le ratage est presque complet ! |
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Qu’est ce que vous voulez que je vous dise ? Ça ressemble à tout ce qu’Holkenborg a déjà fait, mais presque en pire. C’est nullissime. Vraiment. Woob woob, braaah, ambiance moche, woob, cuivres, thème de série TV moche, ambiance, rince and repeat … |
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Ni trop bourrin, ni trop saoulant, ni vraiment marrant, ce score de super anti-héros par ce junkie de Tom Holkenborg brille par sa transparence. Au moins, avec Mad Max, on en prenait plein la gueule et on savait pourquoi. |
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Des sonorités électro vintage donnent l’impression d’entendre une béo de jeu vidéo 16-bit… Malheureusement, ce gimmick rigolo est trop vite gâché, enterré sous un tombereau de percussions saturées et d’un orchestre factice au possible, rabâchant les clichés MV/RC les plus éculés. Du coup, tout ça paraît bien vain. |
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On les entend d’ici : « Et si on embauchait Junkie XL pour notre nouvelle Marvelerie ? Bonne idée, il nous déversera des torrents de boucles, des nappes de cordes et des tonnes de percussions électroniques, parce que c’est cool. » Mauvaise idée… |