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Quel plaisir que ce réenregistrement de 1987 qui refait surface dans une qualité sonore optimale. Est-il besoin de rappeler que la partition de Garcia est quant à elle un classique du genre, soutien indéfectible du film et qui toujours aujourd’hui œuvre beaucoup à la crédibilité et au charme de cette aventure aux émotions diverses ?
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Dommage que Garcia n’ait pas été plus prolifique, surtout que ses CD n’encombreront pas vos étagères. Avec une démarche classique, il offre un score qui s’écoute avec intérêt et surtout un réel plaisir. Achat indispensable, si vous n’avez pas déjà les éditions GNP ou FSM. Je recommande évidemment aussi son Atlantis, The Lost Continent (FSM).
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Réédition du réenregistrement réalisé avec le Graunke Symphony Orchestra. Russel Garcia a su imprimer sa personnalité à ce score (et à la suite tirée d’Atlantis), tout en restant dans le son typique des années 1960. Thèmes marquants, écriture claire et dynamique, le charme opère à fond. On regrette juste sa filmographie très maigre…
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Retour au sense of wonder du passé avec ce récit de 1899 filmé en 1960, réenregistré en 1987. Thèmes mémorables, romance victorienne, cuivres tonitruants pour les Morlocks : les saveurs du cinoche « in futuristic metrocolor » sont réunies, peut-être trop basiques ou prévisibles parfois pour constituer un chef-d’œuvre, mais le charme est bien présent.
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Tout gamin qui, comme moi, a découvert le film à la téloche, en garde un souvenir émerveillé. Et se souvient aussi de la partition romantique en diable de Russel Garcia, capable de mystère, de danger et de mélodies flamboyantes. Délicieusement vintage.
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