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Debney se donne à fond dans un exercice joliment enjoué avec mélodies chaleureuses rondement menées et séquences d’action d’une grande robustesse au point qu’on se croirait parfois dans un Silvestri de Noël (avec une pointe de Giacchino). Simple friandise orchestrale sans doute, mais qui fait indéniablement du bien par où elle passe.
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Je suis toujours heureux d’entendre du Debney en mode animation. Plus que la chance, il laisse parler l’expérience et le talent. L’œuvre est agréable à écouter, même si l’on est loin de ses meilleures partitions. Le mode est léger et frais, avec ce qu’il faut de tension et d’action. Et non, cette note ne doit rien à la présence d’un chat dans le film.
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Ce score semble sortir tout droit des années 90 ! Générosité orchestrale et mélodique, expressivité dramatique, même l’enregistrement/mixage fait illusion. Les influences de Horner et Silvestri sont prégnantes. Une vraie-fausse capsule temporelle musicale… Bluffant (mais faut aimer ce style).
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Avec son graphisme de faux Disney-Pixar en mode pompage Ghibli, Luck n’annonce rien d’original. Trop dans les clous des succès passés, Debney a cependant le chic pour donner vie à l’orchestre, booste l’image sans lourdeurs, donne corps aux sentiments. Et ça prend ! Sera-t-il le Giacchino du « nouveau » Lasseter ? Bonne chance à eux.
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Un film d’animation Apple TV qui s’offre les services de scénaristes Pixar… Il y est question de chance. Ou pas. Comme d’habitude, Debney pioche à droite à gauche (thème hornérien, action silvestriene) mais le fait plutôt bien pour le coup. C’est facile d’écoute, à coup de jolies mélodies et de quelques extraits celtiques. Pas mal.
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