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Moins théâtrale que celle d’Hundra et malgré la réticence de Morricone à s’engager vers le poème symphonique, la partition séduit par la manière addictive avec laquelle le maestro fait « chanter » les forces en présence et construit le sentiment épique par la répétition. L’album stéréo reste le plus satisfaisant, le rendu mono s’avérant étouffant.
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Après Varèse en 1990 et Perseverance en 2010, voici venir Quartet qui double la durée, en proposant des versions stéréo et mono. Les inédits font évidemment bien plaisir, même si cette présentation n’évite pas les répétitions. Mais ne tergiversez pas et jetez-vous sur cette superbe musique, bien meilleure que le film (Ka)Kalidor qu’elle illustre.
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Grand saut en qualité sonore par rapport aux éditions précédentes (sur la partie album hein, la version film est dégradée). Avec une écriture très différente de celle de Poledouris, Morricone parvient avec la même aisance à invoquer un univers mythologique, armé de thèmes très réussis, à la fois aventureux et délicats.
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Ennio n’était pas natif de Cimmérie : preuve en fut ce score quelque peu déraciné des terres de Conan, surtout son thème principal porté par une trompette altière. Ironie volontaire ? Coincé entre morriconnisme et classissisme, il reste néanmoins plus qu’agréable, et si cette réédition favorise la répétition, on peut encourager sa découverte.
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Du rab de Morricone avec un meilleur son. Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas écouté cette B.O. Un Main Title glorieux, mais surtout un thème final, repris de différentes façons, absolument envoûtant et magnifique ! Une vraie belle redécouverte. Vous n’avez pas cette galette ? C’est une faute de goût.
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