|
Un peu de free jazz, une petite dose d’électronique d’époque et beaucoup de musique expérimentale pour formation chambriste, assez similaire à ce que Morricone aime à produire en matière de musique de concert « sérieuse ». Dit comme ça, ce n’est guère folichon, et à l’écoute, pas tellement plus. Réservé donc aux collectionneurs acharnés.
|
|
Avec Morricone, la base Alpha semble passer dans un univers sonore alternatif, froid et abstrait, avec moult expérimentations électroniques, acid jazz et dissonances cordées. Pourtant, loin de l’objet fascinant qu’on aurait pu espérer, ce choix radical, ardu à l’écoute isolée mais confectionné sans génie, n’est guère plus qu’une curiosité.
|
|
Acide et expérimental, le jazz d’Ennio Morricone vous fera voir l’espace d’une toute autre manière. On n’est pas dans Star Wars ni Star Trek ni même 2001. Extrêmement difficile à écouter, je n’ai pas honte de l’avouer, le résultat vous emmènera là où aucun homme n’est jamais allé.
|
|
Ce qui ressort à l’écoute de cet album expérimental free jazz de Morricone, c’est que Birdman, c’était vraiment pas terrible et chiant. Ici, je ne dis pas que je tiens toute la longueur, mais ça a de la classe et parfois ça fait vraiment mouche (sans les pattes de velours gris néanmoins).
|
|
C’est essentiellement une collection de morceau atonaux expérimentaux, soit dans du jazz orchestral psychédélique sous acide, soit dans l’électro-bidouille. Les deux-trois pistes que je préfère évoquent plutôt le mystère du vide spatial dans un calme illusoire. Une curiosité hermétique mais pas complètement dénuée d’intérêt.
|
|
Personnellement, je ne savais pas que Morricone avait bossé sur un long métrage de cette série de mon enfance. Mais attention, rien à voir avec le splendide thème de Barry Gray. Ici, il est question d’expérimentations sonores. L’écoute, sans son support filmique, peut s’avérer périlleuse. Vous êtes prévenus…
|