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Euh, comment dire… Une aimable partition d’aventures enfantines qui sonne comme du Debney des années 90, avec son lot de bons sentiments mais aussi quelques passages d’action bien troussés par ce vieux briscard de John aidé de sa fidèle Germaine. Tellement bien fichu, pour tout dire, que j’y reviendrai volontiers à l’occasion.
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Honnête partition d’aventure orchestrale, chorale et exotique (merci Germaine) qui, comme on s’y attendait (ou l’espérait, c’est selon), paie son tribut de manière parfois très directe à John Williams (et en une courte occasion au Predator de Silvestri, ce qui est plus rigolo). Divertissant.
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Après Brian Banks, je retrouve enfin le Debney qui me fait vibrer ! Mystère, aventure, action, Debney y va carrément franco ! Et tiens, d’ailleurs je ne sais pas trop l’apport de Germaine, car John me semble capable d’avoir tout fait lui-même. Bref, je kiffe !
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En bon artisan caméléon, Debney (et sa comparse) nous gratifient d’un très chouette score d’aventure orchestral à l’ancienne. Difficile de lui trouver une vraie patte personnelle, reste que la qualité est de mise, assortie d’une petite coloration latino pas déplaisante du tout. Une thématique un peu plus prégnante n’aurait pas été de refus, cela dit.
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