 |
Si cette intégrale semble un peu indigeste par rapport à l’album initial, fort bien construit, c’est du côté des pistes alternatives que l’on peut découvrir quelques merveilles inédites. Quoi qu’il en soit, si vous ne connaissez pas encore, ne vous privez pas, l’Éternel vous le rendra !  |
 |
Bien sûr, la forme moyen-orientale paraît éculée aujourd’hui tant elle a été surexploitée à Hollywood, mais à l’époque on n’aurait guère parié sur Debney pour nous servir une partition aussi spirituelle et habitée. Tout l’intérêt est là.  |
 |
On me traitera d’hérétique, mais ce score m’a toujours profondément ennuyé, voire agacé. Du coup, si vous êtes comme moi, vous savez quoi faire. Pour les autres, j’imagine qu’il s’agit d’une pièce de collection.  |
 |
Que ceux qui trouvaient pénible le chemin de croix lacrymal de Debney se rassurent : cette version étendue s’éloigne de l’album original pour raconter un voyage plus mystique et plus ancré dans le contexte. On n’est pas loin d’une redécouverte.  |
 |
Debney, c’est le type qui a eu de l’inspiration à trois reprises dans sa vie, et The Passion Of The Christ en est une. On se croirait presque en train d’écouter un Horner, avec de longues plages élégiaques comme il sait si bien le faire.  |
 |
Un bien belle édition d’un score déjà bien représenté dans sa version initiale. Les inédits renforcent l’aspect horrifique de la partition. On regrette l’absence de l’oratorio que Debney avait tiré de son score. Une prochaine fois sans doute…  |