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Debney lance son orchestre dans une bataille homérique nourrie d’influences bien digérées et surtout assumées, et nous entraîne dans une aventure épique majestueuse et spectaculaire. Une partition de fantasy tout simplement phénoménale. |
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Comme pour Cutthroat Island, les emprunts sont manifestes (Horner, Williams, Poledouris) et si Debney et Kaska ne lésinent pas sur l’emphase, ils savent insuffler à ces mélodies, cet entrain guerrier et ces climats de fantasy un vrai panache. |
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Tout en chœurs et envolées puissantes, un incontournable injustement méconnu, qui mérite pourtant une place de choix au Valhalla des scores épiques. Si vous n’achetez qu’un score ce mois-ci, que ce soit celui-là ! |
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Mais John, que t’arrive-t-il ? T’as pris des amphéts ? Tu bosses pour la première fois sur un projet où on te laisse faire ce qui te plaît ? Espérons juste que ce ne soit pas un one shot et surtout n’oublions pas Kaska, aussi responsable de ce petit chef-d’œuvre |
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Un coup de génie de la part de Debney qui s’est lâché comme presque jamais, enfin édité dans toute sa longueur, sa richesse, son emphase. Vous avez dit épique ? Mais carrément. BIM ! |
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Oui, cette musique lorgne beaucoup vers Williams et n’a pas grand chose d’original, mais on peut dire que le père Debney a accouché d’une montagne épique, avec des thèmes sauvages et beaux à tomber par terre. La musique de toute une vie. |
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On a coutume de dire de Cutthroat Island qu’il est le grand œuvre de Debney. Grâce à La-La Land, plus personne ne pourra ignorer que Lair, monument d’aventures guerrières, lui oppose une concurrence farouche. |
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Une partition gigantesque qui évoque un monde fantastique. Debney y convoque l’esprit de Korngold et Rózsa, tire son chapeau à Williams et Poledouris, par une écriture symphonique exceptionnelle, du niveau de Cutthroat Island. |