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L’évocation de la nostalgie, c’était un peu le fonds de commerce de Barry. Pas étonnant donc qu’il fasse merveille sur ce beau film oublié de Coppola, avec toute la grâce, la délicatesse et la sensibilité qui le caractérisent. Préparez vos mouchoirs ! |
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Thème principal en forme de berceuse, saxophone cajoleur, on pouvait compter sur Barry pour envelopper délicatement Peggy Sue de ses harmonies attendues mais chaleureuses, telles une bonne flambée en plein cœur de l’hiver. |
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Idéal à l’évocation de l’univers doux-amer du film, le score de Barry, tour à tour passionné, vaporeux ou évasif, mais toujours romantique, se marie aux chansons pour refermer sur l’auditeur une bulle dont on voudrait ne jamais sortir. |
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Du Barry en pleine forme pour une édition elle aussi au top. Remplie jusqu’à la gueule, elle aura de quoi plaire aux adorateurs du monsieur et à ceux qui comme moi, apprécient une belle partition. |
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Cette redécouverte promettait un très beau moment, mais j’avoue que l’ennui m’a gagné assez rapidement, même si quelques morceaux sont vraiment beaux. |
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Encore du Barry, plutôt bon, mais pas à se taper la tête contre les murs non plus. Et c’est tant mieux, parce que ce n’est jamais une bonne idée de se taper la tête contre les murs. |
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Un Barry quasi-inédit et dont la précédente édition présentait un souffle gênant. Ici, la musique sonne merveilleusement. Ça tombe bien, le score s’avère sublime, poignant et les chansons apportent un vrai plus. Un classique. |