Becket (Laurence Rosenthal)

UnderScorama • Publié le 15/05/2022 par

BECKET (1964)
Compositeur : Laurence Rosenthal
Éditeur : Intrada
Format : CD
Date de sortie : 19/04/2022

4.5 out of 5 stars
Florent Groult Chants grégoriens, citation du Dies Irae, cuivres altiers, particularismes médiévaux et mélodie d’origine galloise délicatement développée, Rosenthal lie les différents éléments constitutifs de sa partition en un unique geste dramatique exemplaire jusqu’au final majestueux mais grinçant. Cette présentation en quasi-suites de concert est magnifique.
5 out of 5 stars
Pierre Braillon Partition passionnante de Rosenthal, riche, infusée d’un travail pointu d’intégration de chants religieux latins – on a parfois l’impression d’être quelque part entre The Hunchback Of Notre-Dame et The Last Valley. Parfois cérébral, le score déploie aussi les fastes d’un Golden Age finissant.
4 out of 5 stars
Franck Le Roux Premier des trois films (avec Hotel Paradiso et The Comedians, sortis en 2011 chez FSM) de la collaboration entre Rosenthal et le réalisateur Peter Glenville, ce Becket est une merveille musicale (d’ailleurs nommée pour un Oscar). Rosenthal nous plonge dans un XIIème siècle pétri de religion. Avec ce Becket, je ne peux dire que : « Oh bravo ! ».
4.5 out of 5 stars
Milio Latimier Vous trouverez ici plusieurs facettes du compositeur. Une flamboyance aventureuse très proche de Clash Of The Titans, un ton dramatique violent, de la romance délicate, des fanfares péplumesques, des chants et orgues religieux… Un programme riche, intense et enivrant.
4.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Pour un enregistrement qui a quasi soixante ans sur la tête, le son est plutôt correct. Maintenant, il faut aimer les simili chants grégoriens et le décorum qui rappelle parfois certains péplums. Pas forcément désagréable quoiqu’un peu vieillot tout de même.
3 out of 5 stars
David Lezeau Moyen-âge, amis ennemis, contraste. Tandis que le script dissèque ses anti-héros tourmentés, Rosenthal déroule un canevas de chants médiévaux et d’archaïsme orchestral, aux cuivres rustiques, écartelé entre joie ironique (le travail tonal fait parfois penser à North) et noirceur de l’âme. Un album trop court, donc pas trop long.
4.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Je ne connaissais ni le film, ni la musique… Mais cette B.O., quelle claque! Entre chœurs liturgiques impeccables, orchestre somptueux, utilisation judicieuse du Dies Irae et crescendo façon Respighi, c’est vraiment une splendeur que je me suis dégusté avec bonheur. On a l’impression d’écouter une pièce classique.
5 out of 5 stars