Dotée d’un thème principal sombre et presque tragique, une partition de thriller tendue dans la plus pure veine 70’s, parfois infusée de jazz et d’un sous-texte martial de circonstance. Un rappel indispensable du talent du trop sous-estimé Rosenthal.
Une partition dont la rudesse s’avère typique des thrillers des années 70, d’autant que le thème romantique rappelle lui furieusement le Cassandra Crossing de Goldsmith (Sophia Loren oblige ?). Un solide effort de la part de Rosenthal.