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Bien sûr, on retrouve ça et là des similitudes avec les grands Goldsmith de la période, comme Alien, mais l’atmosphère sud américaine/hispanisante est tissée avec le brio et le panache d’un génie en pleine possession de ses moyens. Un score nerveux, à l’action parfaite, totalement euphorisant.
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Cool, 76 mn au total ! Ah, mais non… il faut enlever les musiques jazz et classiques, ce qui ne laisse finalement que 38 mn de Goldsmith. Mais quelles minutes ! Si le film se passe au Pérou après la seconde guerre mondiale, Jerry nous offre un score convoquant les grandes heures du western, à tendance mexicaine. Et quel thème, mes amis ! J’adore.
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Malgré une chanson (chantée par sa femme) un peu trop cheesy à mon goût, la partition de Golsdmith se démarque par son thème entrainant et une énergie communicative dopée par des orchestrations luxuriantes et parfois exotiques. Pas indispensable mais très agréable.
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Un Goldsmith assez bref en termes de composition originale. Le son lointain des précédentes éditions n’aidait pas. Ici, le toilettage opéré fait merveille et même s’il y beaucoup de musiques de source et quelques chansons dispensables, les efforts pour faire sonner l’orchestre à la sauce sud-américaine sont couronnés de succès.
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Indispensable pour qui n’avait pas la première édition. Un thème fabuleux, une utilisation de la guitare qui préfigure le génial Under Fire et une délicieuse chanson de Madame Goldsmith. Pour les autres, la musique source en sus n’apporte pas grand-chose à cette chouette B.O.
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