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Un score de SF très électro, mais séduisant et soigné, prenant par son atmosphère travaillée, mais ne délaissant jamais la mélodie.
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C’est plus intéressant que son score pour la série Missions, mais on est encore loin de l’extase. Je dois avouer que ses travaux me laissent souvent assez froid. Ici, sa musique, qui prend parfois une certaine ampleur, fourmille de belles idées. Hélas, l’ambiance synthés 80’s vient gâcher tout ça. Dommage, car on sent que le potentiel est là.
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Essentiellement électronique, avec quelques passages orchestraux (notamment vers la fin), la musique de Forget est plutôt contemplative dans ce contexte dystopique et désabusé. Pas désagréable mais ne provoquant pas vraiment l’enthousiasme, elle fait cependant son office. Sans plus.
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Une plongée directe dans un monde en dehors du temps. Forget convoque des sonorités électroniques originales, mixe diverses influences (chœurs héroïques, cuivres belliqueux, piano mélancolique, sirène de fin du monde…) pour aboutir à un univers assez fascinant, original et magnétique. Vous y reviendrez.
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Après son travail sur Missions, Forget semble bien le compositeur en titre de la SF à la française. Le film est difficile à voir (sorti en mai !) mais ce n’est pas grave. La musique fonctionne très bien sans les images, quelque part entre Vangelis et Interstellar, mais toujours avec beaucoup de style et d’émotion. J’aime vraiment beaucoup.
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