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Goldsmith signe un superbe score riche, chatoyant et ambitieux. Ici, le label français met les petits plats dans les grands, en offrant le score étendu (soit 75 minutes), l’album d’époque et deux alternates. Malgré la plus-value certaine de cette nouvelle édition, je vais pourtant me contenter du CD Silva, qui proposait déjà 70 minutes de belles musiques.
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Joyau de féerie innocente et de noirceur corruptrice, Legend revient dans un bel écrin, programme du vinyle en plus. Le Silva Screen bénéficiait déjà d’un son exemplaire. Les deux (courts) inédits ajoutent au plaisir de se replonger dans ce travail poétique et complexe dans son alliance orchestre-chœurs-synthés.
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Hommage à Daphnis et Chloé ou non, aucun de mes mots ne pourrait traduire le dixième de la magnificence de cette musique. Chaque note, lyrique ou grotesque, chaque mesure, poétique ou terrifiante, chaque page de cette partition brille d’un feu créatif qui sera rarement atteint en musique de film.
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Oui, bon, ce n’est pas si mauvais, il y a même quelques passages sympas. Mais évidemment rien à voir avec le chef d’œuvre absolu de Tangerine Dream, sa magie, sa beauté, son lyrisme. Ah ! On me dit dans l’oreillette d’aller décuver…
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