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Malgré ses moyens limités, le compositeur met le paquet quitte à paraître hystérique : changements incessants de thèmes et de rythmes à la limite de la surenchère, le régime ne baisse jamais et n’amuse plus sur la durée. George Kallis a-t-il vraiment le sens du spectacle ?
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N’oubliant pas de surfer sur le succès du premier film, Disney revient avec un second opus. Kallis est heureusement toujours de ce voyage en terre russe. Tant mieux ! Son généreux score, véritable ode à la fantasy, claque sa mère ! Avec un orchestre survolté et des chœurs, il me met le cœur en joie. L’absence de CD est d’autant plus rageante.
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Suite du film de 2017, ce Root Of Evil bénéficie de la thématique (augmentée) de Kallis, déjà chargé de la musique à l’époque. Ce n’est pas foncièrement très solide et les mélodies restent un peu passe-partout mais c’est globalement bien fait même si on peut hélas réitérer le reproche un peu mickey mousing de la partition originale.
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Superproduction russe dans laquelle la musique de Kallis brille d’éclats lumineux, tant vocaux qu’orchestraux, hélas noyés la plupart du temps dans des ostinati à n’en plus finir et des ruptures de tons incessantes. On ressort lessivé de l’écoute. Beaucoup de bruit pour rien.
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Retour en fanfare pour Kallis après le touchant Sadan Hanim, avec cette coproduction Russie-Disney. Heroic-fantasy à la sauce Soviet, l’ami George balance la grosse artillerie, avec orchestre maousse et chœurs puissants. Et ça fait bien le taf. Agréable.
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