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Une partition de fantasy généreuse qui ne manque ni de mélodies attachantes, ni d’une douceur à l’innocence rafraichissante, ni de chœurs enchanteurs (on pense même parfois au LOTR de Shore, c’est tout dire). On pardonnera du coup assez facilement quelques écarts de mickey mousing comique, et on attendra de pied ferme le prochain Kallis.
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Signé Henson, Héral ou Gregson-Williams, ce score rejoindrait sans honte la grande famille des évocations célébrant l’imaginaire avec lyrisme, clochettes et échos celtiques. Mais comme Kallis encore tout à prouver, on guettera avec curiosité ce qui l’attend, si les bonnes fées de sa carrière décident de parier sur cet étalon enchanté.
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C’est charmant, classique mais bien écrit, avec ce qu’il faut de naïveté. Mais puisque c’est exactement le score attendu pour ce genre d’histoire, c’est donc très loin d’être inoubliable.
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Une partition de fantasy séduisante dans ses passages les plus calmes, délicatement empreinte d’une certaine majesté. On sent l’influence de LOTR ou Anastasia dans certaines mélodies. Bémol : les passages les plus massifs ou inquiétants virent à la facilité façon RCP, trahissant la tenue instrumentale générale.
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C’est tout joli-mignon. C’est bien écrit. Avec un vrai orchestre, de vrais chœurs. Et là, vous allez dire « Oh, je sens le mais arriver… » Bah non, même pas. C’est vraiment bien. Pas forcément ultra mémorable, manquant un peu de peps parfois, mais vraiment très divertissant.
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