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Après The Hunt et Our Planet, Steven Price revient avec ses mélodies entraînantes, ses choix sonores soignés, ses climats variés, et tisse une aventure documentaire toute de mouvement et de vie, une fois de plus. On se lassera peut-être un jour de la recette, mais en attendant, la fraîcheur des ingrédients emporte le morceau.
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Ne pas se laisser berner par le nom d’un compositeur accolé au titre : le score aurait pu être composé par n’importe quel logiciel de musique de documentaire, sportif, spatial, animalier, sur une personne atteinte de handicap… C’est de toute façon toujours la même chose.
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Après les très bons The Hunt et Our Planet, Price revient à un documentaire, pour un film DisneyNature. Il fait feu de tout bois, pour cette aventure nautique, déployant une belle richesse orchestrale. Et puis quand j’entends une musique récente de Zimmer ou de Rob, je me dis qu’une musique de Price, ça n’a pas de prix.
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A l’image du dauphin, la musique de Price virevolte. Joyeusement. Paisiblement. Et on est vite pris par la légèreté de l’ensemble et même, parfois, par une certaine qualité d’écriture. Le mariage entre synthés et orchestre est parfaitement équilibré. De-ci de-là, vous vous surprendrez à être emporté loin de ce monde de turpitudes futiles. Magnifique.
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Très légère et sympathique cette musique d’un docu Disney sur les dauphins. Légère dans le sens aérienne et agréable. Une écoute idéale pour s’évader. Et y’en a besoin. Parce que le confinement, cétacé (spéciale dédicace pour le Chat).
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