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Le disque est bien trop long et déborde d’électro qui met toutes les aiguilles dans le rouge. Mais pour le reste, surprise : Akinola s’approprie une tradition pop, groovy et lyrique instaurée par Gold, confie la partition de temps en temps à un soliste, piano ou violon, et réactive enfin un peu de l’image musicale de Doctor Who. Mais à quel prix…
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Après la relative indigence musicale de la saison 11, Akinola semble avoir bouffé du lion. Pas au point de rivaliser avec l’âge d’or de Murray, mais cette saison laisse espérer de belles choses pour la suite. Le mélange orchestre et synthés fonctionne bien, même si ces derniers sont trop présents à mon goût. Bon, j’arrête là, car il se fait tard, dis !
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Musicalement, la saison 11 était calamiteuse. Ici, Akinola se rattrape un peu. D’abord parce que c’est beaucoup plus orchestral, moins sound-design, plus varié et donc plus riche. Malgré tout, cela manque de thèmes mémorables. On est quand même loin de la classe d’un Murray Gold !
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Jamais vu un SEUL épisode de cette série. Je sais, c’est moche… Et pas réussi à aller au bout de cette (trop) longue galette, je le confesse. Pas pour moi.
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