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Après la demi-douzaine de chansons de rigueur, on est surpris de découvrir que le score, signé d’un parfait inconnu, s’écoute avec beaucoup de plaisir : Daniel Hart met du cœur à l’ouvrage, alternant avec aisance l’intime et le grandiose dans une approche thématique et stylistique qui rappelle parfois celle du regretté Basil Poledouris. La découverte du mois !
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Daniel Hart signe une musique plutôt charmante, mélodique et vaguement folklorisante (banjo, fiddle…), mais aussi relativement fade, et en tout cas jamais réellement mémorable sous quelque aspect que ce soit. Un score pas désagréable mais inoffensif donc, comme on le dit parfois.
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Ma foi, autant le film ne me donne pas envie, autant Daniel Hart m’aura fait pleurer à l’écoute. Des sensations qui culmineront jusqu’au final dont chaque piste est travaillée avec fortes mélodies, accentuations et motifs à rendre dingue. Non, vraiment bravo Monsieur Hart. Bref, c’est quand sa prochaine partition ?
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Ne soyez pas rebutés par les chansons, la portion dévolue à Hart est conséquente. Excellente surprise que cette partition d’aventure à une voix forte, sensible, vigoureuse qui emportera sans difficulté l’auditeur bien disposé à ce type d’exercice. Hart manipule de manière simple mais habile thèmes et masse instrumentale. Excellente surprise.
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Daniel Hart réussit, à grand renfort de mélodies sucrées, à faire dresser l’oreille plus d’une fois. Sa musique, orchestrale, souvent fraiche et vaguement inspirée, par instants, du bluegrass (fiddle, banjo, guitare, clapping…), sied parfaitement au ton bucolique, voire un peu mélancolique, de ce joli film. Une bonne surprise.
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On ne s’attend pas vraiment à cette ambiance qui louche un peu vers l’americana avant de retrouver les élans propres à la fantasy : cette approche surprenante rend le score assez attachant, d’autant qu’il sait parfaitement mêler des moments d’action enlevés à d’autres plus introspectifs.
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