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Jamais Lorne Balfe ne s’est à ce point éloigné des standards RCP qui ont pourtant fait fructifier sa carrière jusqu’à présent : pour American Hero, il s’installe tranquillement au piano et égrène piste après piste d’agréables mélodies, simples et directes, parfois rehaussées de rares effets synthétiques. C’est joli, intime et même parfois touchant.  |
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Des sentiments simples exprimés très simplement, presque exclusivement au piano : Lorne Balfe se prend pour Erik Satie avec une approche pour le moins à contre-courant des bourrinages habituels compte tenu du sujet. Rien que pour ça, jetez-y au moins une oreille, même si cela reste anecdotique…  |
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Quand je dis que loin de Zimmer et Cie, Balfe a du potentiel ! Un album surprenant, dont le piano est le maître, prêt à sublimer l’émotion voulue.  |
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Quand Balfe ne fait pas le beauf, ça devient écoutable. Pas de bol, je ne suis pas fan des scores au piano. Mais il y a de quoi être ravi que Balfe change de registre. Peut-être devrait-il travailler sur des films indépendants ?  |
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Pour ce « super zéro » psychokinésique en quête de repentir, Balfe s’éloigne complètement des conventions actuelles du genre et présente une brève partition intimiste pour piano solo, agrémentée de textures électroniques. Surprenant, simple et léger, c’est le parfait opposé de Terminator Genisys.  |