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Ni totalement honteux, ni particulièrement remarquable, ce score un peu trop massif mais agréablement thématique ne dessert jamais la série mais échoue à la sublimer. Par contre, reste un mystère : comment fait donc Lorne Balfe pour faire sonner le BBC National Orchestra of Wales comme des samples ? #pourunefoispasdebaffespourLorne
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Jamais désagréable mais preuve, une fois encore, qu’il suffit de piocher dans l’écurie RC pour obtenir une musique jamais à la hauteur du projet : deux ou trois idées mal exploitées, des pow-pow-pow djawidesques et une approche mélodique qui ne suffit pas à masquer l’absence de finesse, de cachet véritable et d’ambition. Ennui.
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Qu’elle est usée la musique des ateliers Remote Control… Rien de honteux ici, mais une enfilade de tout le savoir faire made in RCP, dans son application la plus générique. Cette musique pourrait donc illustrer absolument n’importe quel programme audiovisuel narratif.
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Daemons, ours en armure, science, magie… j’étais gonflé à bloc avant l’écoute. Trop peut-être, car l’écoute m’a aussi gonflé. Bon, je force un peu le trait, car c’est finalement plus de la déception : j’espérais un score rendant hommage au merveilleux de cette histoire. Au final, Balfe accouche d’une partition agréable, mais vraiment trop générique.
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Déjà, un bon point pour Balfe : il y a un vrai thème. Un autre, c’est qu’il réussit à tisser une vraie ambiance, avec de vrais instruments (et même des chœurs !). Il y a bien sur quelques facilités de composition (des harmonies souvent convenues) et d’orchestrations (les percus génériques). Mais l’ensemble s’écoute tout de même avec (grand) plaisir.
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