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Ce qui s’annonçait comme un sympathique Burwell, à la délicatesse teintée d’introspection façon Barton Fink, s’avère en réalité être l’arnaque du mois : ce n’est pas un album, mais une bande-son constituée à 70% de dialogues du film. Dans ces conditions d’écoute, je refuse purement et simplement de noter ce pourtant très joli score. |
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Certes, il s’agit à l’origine de « théâtre sonore », mais gâcher à ce point les accords intimistes et mélancoliques que Carter Burwell fait interpréter à ses huit musiciens avec l’intrusion constante de dialogues, quelle bêtise ! La note reflète donc bien la qualité de la musique, pas cet album qui mériterait lui amplement son zéro pointé ! |
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J’adore Burwell, j’aime l’étrange et le subtil, mais cet album me pose problème. Déjà parce qu’il y a beaucoup de dialogues (spoilers) et qu’il est étrangement produit. Mais c’est tout de même très joli. |
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Sur la pochette du disque ici présent, il y a écrit : « Music from the motion picture » avec le nom du compositeur en dessous. Et bah nan ! Chez Lakeshore, ils ont fait la démarche intellectueuse de vous repasser le film sans les images, avec des dialogues on ne peut plus intrusifs… Grrr ! |
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Burwell, j’aime bien, mais là c’est un peu galère d’apprécier plus de deux notes et demi avec cette mauvaise manie de foutre les dialogues du film par-dessus la musique. Comme Human Nature finalement : tant pis pour la musique. |
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Zut, encore une béo remplie de dialogues ! Avec son attirail habituel (piano, bois, cordes, percussions légères), Burwell révèle les bonheurs et tourments intérieurs du héros. Mais on a constamment l’impression d’écouter le film (privé de ses images), la musique passant en arrière plan. Grrr… |