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Agent Carter signe, enfin, le retour du Lennertz symphonique qu’on désespérait d’entendre à nouveau. Sa partition allie efficacement suspense et action (les parties chorales russes sont sensationnelles) et profite d’une thématique très réussie (qui évoque parfois le Doctor Who de Murray Gold). Welcome back, agent Lennertz ! |
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On ne se le cache pas : Christopher Lennertz n’est réellement qu’un honnête faiseur et, malgré de bonnes séquences, si sa Marvelinade bénéficie d’une solide charpente, la décoration reste bien tristounette, à l’image du récent (et tiède) Agents Of S.H.I.E.L.D. de Bear McCreary. |
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Du tout bon. Lennertz met son costume de super héros, et c’est parti pour une écoute impeccable. Des thèmes, de l’arrangement efficace même en utilisant les gimmicks RCP. Un sacré bon album. |
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Ça fait du bien de retrouver le génial Lennertz dans un genre qui lui ressemble un peu plus. Tout n’y est pas parfait, série TV oblige, mais son thème a une sacré énergie, qui s’intègre parfaitement dans ce score orchestral sévèrement burné. |
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Lennertz revient de loin ! Moins immédiatement jouissif qu’Agents Of S.H.I.E.L.D., il faut plusieurs écoutes pour en apprécier les meilleurs aspects : le thème principal et les ambiances espionnage et film noir (sourdines, balais). Les boucles et autres effets percussifs bateaux ternissent cependant le tableau. |