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Loin des canons lyriques du Horner classique, une partition essentiellement synthétique aux accents naturalistes qui ne manquera pas de surprendre ceux qui ne connaissent que la facette plus mainstream du compositeur. N’hésitez pas à faire le voyage : aussi dépaysant soit-il, il vaut largement le déplacement. |
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Une atmosphère synthétique aux effluves souvent diffuses et beaucoup plus subtiles qu’il n’y paraît : grâce au compositeur, il flotte dans l’air de ce film un genre de poésie musicale indéfinissable, étrange, intemporelle et magnétique, à laquelle je ne me lasse jamais de succomber. |
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En même temps, c’est la période que je préfère d’Horner, donc facile d’aimer ce petit score sans prétentions. Si vous n’aimez pas les synthés 80’s, tant pis pour vous, vous ne savez pas ce que vous ratez. |
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Un Horner mythique et mystique, dont les mystérieux pouvoirs de fascination restent étrangement intacts aujourd’hui. |
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Un Horner tribal, planant, synthétique et old school au possible. Pêché mignon absolu pour ma part. |
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Beaucoup de poésie dans cette partition très dépouillée, majoritairement électronique (sons de flûtes, percussions, harpes…). L’exotisme n’est jamais embarrassant et les sonorités passées de mode rajoutent à l’étrange émotion, sereine, doucement déployée sur des rythmes lents et dansants. |