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Sur le plan musical, on a déjà loué dans en ces lieux l’approche percutante d’Horner. On ne peut par contre s’empêcher de penser qu’on atteint les limites du boniment éditorial puisqu’en sus d’un « expanded » aussi longuet que les précédents, LLL inclut deux mixages différents de l’album d’origine qui servent surtout à faire gonfler la facture.
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Encore ?! Ouais, et c’est bien normal, ce p***** de score le mérite ! En pleine ascension, Horner marque les esprits avec un cocktail musical explosif : atmosphère lourde, collision de sonorités audacieuse et narration proposant des développements qui subjuguent. Je suis à fond dedans !
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Encore une nouvelle présentation, qui nous en propose toujours plus. On reconnaît bien sûr la patte d’Horner et tous ses gimmicks musicaux ayant fait sa renommée. Si j’aime ces derniers, je n’ai jamais spécialement accroché à cette B.O., lui préférant des titres comme 48 Hrs. Bah, je changerai peut-être d’avis avec la future version 5 CD ! ^_^
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Une capsule temporelle que ce « Horner Park » de 1983, le plus plaisant (et daté, vu de nos jours) y étant cette dichotomie entre l’univers thriller (drum pads, cuivres funk, synthé…) et un thème romantique orchestral très premier degré. Un score pas essentiel avec de beaux moments, où on se prend à détailler les multiples « hornerismes ».
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Un sacré film où la partoche de James Horner, urbaine et puissante, fait des merveilles. Là encore, même constat que pour Goldsmith. On ressort et on rallonge les originaux. Quelques miettes à piocher en plus. Et tant mieux pour ceux qui n’étaient même pas nés à l’époque.
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