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Il y a presque tout Horner dans cette dernière partition du compositeur : litanies orchestrales délicatement ciselées, nappes d’électronique discrètes mais pertinentes, thématique soignée à l’émotion familière, exotisme de circonstance par le biais d’un thème sud-américain pour flûte de pan… Comme je disais, tout Horner, une dernière fois… :-(( |
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Une irrésistible mélodie andine et une autre d’une douce chaleur qui rappellent Vibes et Zorro, des rythmes et sonorités à la Where The River Runs Black et Avatar : au-delà de sa résonance forcément spéciale, une vraie réussite que cette ultime partition achevée, très pudique finalement eu égard à la force des sentiments exprimés. |
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Terriblement efficace lors de l’effondrement, l’album sort le tire-larmes pour le thème des mineurs, sans perdre de vue l’efficacité. Certains passages sont très goldsmithiens, ce qui n’est évidemment pas pour me déplaire, et l’ensemble de l’album, cohérent, nous rappelle à quel point Horner va nous manquer… |
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Les mineurs sont coincés dans une grotte, mais Horner est resté bloqué sur le Machu Picchu. On ne doutera pas de la sincérité de la démarche – certains morceaux sont vraiment jolis – et l’histoire est comme toujours très bien racontée. |
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On plonge à cœur perdu dans une mine contenant toutes les caractéristiques musicales de James Horner. Très plaisant à défaut d’être original, mais le talent du bonhomme est tel qu’au final, on en ressort avec la banane. |
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Que d’émotion dans cet album. Horner parvient, avec des moyens restreints, à toucher l’auditeur au cœur avec ses mélodies « couleur locale » (guitares, flûtes) chaleureuses, profondément humaines. Les passages de tension, aux cordes et synthétiseurs, sont tous aussi prenants. Une franche réussite. |