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Le compositeur remet le couvert et suit logiquement l’aspect qu’il a mis en place précédemment et n’hésite pas à appuyer là où ça fait du bien tout au long d’une mise en musique chamarrée et hétéroclite. Peut-être celle-ci est-elle simplement un tantinet moins facétieuse, ce qui ne l’empêche pas d’offrir une écoute tout à fait réjouissante.
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Arnold reprend les mêmes ingrédients (orchestre, chœurs, synthés et ensemble rock) dans le même esprit musical potache jubilatoire. Sous ses airs massifs et religieux, l’humour omniprésent insuffle une sacrée énergie tout au long de l’album. Mais Ben Foster n’a pas la même touche que Nick Dodd…
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Sa musique pour la saison 1 m’ayant fait une très bonne impression, je suis heureux du retour d’Arnold. Son score orchestral, très varié et toujours structuré par une thématique religieuse, s’avère totalement cohérent et jouissif. A notre époque, c’est vraiment agréable, et plutôt rare, d’avoir une telle qualité musicale sur une série télé.
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Ces scores TV (et pas que) se suivent et se ressemblent. Trop d’instruments samplés, une écriture hyper codifiée (merci Elfman) et un album rempli jusqu’à la mort de choses inutiles. Arnold sait faire, on devine l’humour de la série sans que ça tombe dans la pitrerie, juste… Ben, c’est tellement bateau qu’on s’en fiche un peu.
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Je ne connais absolument pas la série, je ne sais pas de quoi ça cause, mais en tout cas c’est un vrai kiff de retrouver Arnold en forme olympique ! Orchestral, puissant, choral, tout pour plaire ! Avec une gratte électrique quasi « queenesque ». Conquis.
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