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Parfois, la manière d’aborder un sujet s’avère totalement foireuse : c’est le cas ici, entre coolitude électro-orchestrale faussement moderne, rythmes hip hop et scratching hors d’âge, mickey mousing sans âme et final vaguement bollywoodien mais carrément ringard accumulant les hors-sujets. On appelle ça se planter dans les grandes largeurs.
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Mickey mousing ininterrompu mais remis au goût du jour. La couleur dominante étant de la musique de comédie d’espionnage, saturée d’effets électro, de cuivres qui trompettent, façon David Arnold période Bond. Forcément épuisant, mais on ne peut pas dire que ça ne donne pas envie de taper du pied.
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Peut-on foirer la musique d’un Tom & Jerry ? Lennertz nous prouve que oui. Scott Bradley et Henry Mancini peuvent dormir en paix. Avec ces rythmes contemporo-urbains, on est plus proche de la litière que du douillet coussin du chat. Quelques passages nous font espérer une amélioration. En vain…. Tom et Jerry viennent de se finir au raticide !
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Ma maman serait partie en courant au bout de quatre minutes d’écoute. De cette tambouille, horrible mix d’orchestral et de hip-hop générique complètement décousu, il ne reste même pas un vibrisse un tant soit peu érectile. Parfois, et même si, sans doute, il fait ce qu’on lui demande, Lennertz tombe bien bas.
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Vous aimez les musiques de Scott Bradley pour Tom & Jerry, le dessin-animé de la Hanna-Barbera ? Et bien vous allez adorez détester l’approche ultracontemporaine, bordélique et insupportable développée ici par Lennertz. Allez, on va me dire qu’il a voulu renverser la table ? Mouais, ce que je constate c’est que mes oreilles en saignent encore !
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Ouille ! Vraiment pas ma tasse de thé, ni le film et encore moins la partition de Christopher Lennertz. Malgré quelques idées mélodiques, j’ai eu beaucoup de mal à apprécier ce score jusqu’au bout.
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