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La sensibilité de Wiseman paraît se bonifier sans cesse. Elle s’exprime peut-être même d’autant mieux ici que Debbie tend vers une certaine épuration de son style : derrière une austérité de façade, cette nouvelle partition pour piano, guitare et orchestre va en tout cas droit au cœur et le thème principal est une fois de plus irrésistible.
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Comme on peut s’y attendre, un score tout en délicatesse et en émotion, aux clichés aussi faciles que les adjectifs de cette chronique. Mais on est pourtant ému de bout en bout par ce beau score mélodique, habité, et qui sait devenir lyrique quand il faut libérer l’émotion.
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« Vise, man, la new zik de Debbie ! Yo, c’est d’la balle ! » Cher djeun, tu as évidemment bien raison de te féliciter de cette sortie, puisque Debbie est une artiste dont on prend toujours plaisir à découvrir les œuvres. Belle, dramatique, enjouée, presque féerique par instant, cette B.O. est une boîte à émotions. Avec Wiseman, Roald Dahl est bien servi.
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Ma maman aurait bien apprécié cette musique. Ample, lyrique, mélodieuse et généreuse. Au croisement d’influences aussi notables que celles de Portman, Delerue ou même Horner, Wiseman, avec son style si élégant, compose une œuvre sensible et émouvante. Essentiellement portée par le piano, la harpe et les cordes, la musique enchante.
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Wiseman illustre avec force ce récit fondé sur les mémoires de l’actrice Patricia Neal, épouse de Road Dahl et mère de l’enfant du titre. Crépusculaire, sincère dans le rendu des émotions, cette musique bénéficie d’une mélodie principale accrocheuse aux développements variés. Une véritable réussite, qui plus est disponible en CD.
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Très joli thème. Et puis… ça devient assez plombant. Le genre de B.O. à ne pas écouter en période de confinement. Ah bin justement…
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