C'est la vie. Et elle est parfois rude. A peine notre bossu national louangé que voilà un autre monstre qui débarque.
Celui-là , difforme également (mais lui, c'est volontaire) n'est pas du genre à implorer le ciel. ça non ! Il n'aurait plutôt que ce satané Crom à la bouche ! Mais voilà , à force de vouloir surfer sur la vague du premier film, ce brave Conan échoue dans un nanar de série B mal dégrossi. Qu'à cela ne tienne, le Roi Basil, lui, repart à l’assaut, l’étendard bien haut, et nous offre une partition qui, si elle ne peut rivaliser avec son ainée, fait quand même bien claquer le slip de Conan. Comme Basil et Conan, je suis un poète.
