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Partition feutrée pour piano, bois et cordes qui distille une douceur tendre et mélancolique tout aussi chaleureuse que naphtalénique, et pour cause : outre la présence du thème des Choses de la Vie, cette courte contribution n’est au fond « que » l’ombre d’une musique que le compositeur aurait pu offrir à Claude Sautet,
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Très émouvante partition dramatique, à la fois tendre et triste, aux timbres chaleureux et aux mélodies douces. Les arrangements évoquent l’intimité, en restant de dimensions modestes, mais sont savamment variés pour que l’auditeur soit constamment impliqué. Touchant.
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Retrouver Sarde sur un biopic narrant l’histoire du couple Montand-Signoret semble logique, puisqu’il a mis en musique plusieurs films dans lesquels ils ont joué. C’est presque une façon de boucler la boucle, en espérant bien sûr que ce ne soit pas sa dernière B.O… Sarde livre une partition délicate et mélancolique, riche en émotions.
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Sarde n’est pas modeste, sa musique sait l’être. Comme Williams avec son Fabelmans, il livre une œuvre intimiste et sans doute intime, réflexive : un « t’aime et variations » automnal qui s’installe doucement parmi nos souvenirs, aidé par la reprise d’Hellé et (surtout) du premier exploit sardien, Les Choses de la Vie. Simplement beau.
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La fibre mélodique et mélancolique de Sarde, dénuée d’ironie cette fois, m’a parlé. Voilà une partition sobre, portée par un piano touchant, quelques cordes et une clarinette qui se répondent, souvent sur un rythme de valse lente qui vous transperce, gentiment mais sûrement.
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Pas étonnant de retrouver Sarde sur ce projet. Première B.O. depuis 8 ans, un court travail tout en pudeur et en retenue, avec un très beau thème. La musique est teintée de nostalgie et avec la reprise des Choses de la Vie pour terminer. Cela ressemble à un chant du cygne, élégant et crépusculaire.
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