Union (The) (Rupert Gregson-Williams)

UnderScorama • Publié le 15/09/2024 par

THE UNION (2024)
Compositeur : Rupert Gregson-Williams
Éditeur : Netflix Music
Format : Digital
Date de sortie : 16/08/2024

2 out of 5 stars
Florent Groult Petite partition d’action électro-orchestrale qui ne va pas chercher bien loin : avec ses ostinati de cordes, ses grondements de cuivres, ses percussions frénétiques et ses petites notes de piano et de guitare, elle a des allures de sous-Bourne comme on en entend à la pelle depuis des années. Proprement réalisé, mais tellement routinier…
2.5 out of 5 stars
Franck Le Roux The Union, qui n’est évidemment pas un film évoquant le fameux quotidien régional, semble être un de ces produits photocopiés dont nous abreuvent le cinéma et les plateformes. Pour sa part, RGW fournit une musique lambda plutôt fun, certes moins colorée que le RGB. Un bon score d’action, sympa et carré, mais déjà oublié.
3.5 out of 5 stars
David Lezeau L’union fait la force, mais aussi courir, à en croire cette B.O. toute en nerfs. De là à produire de la musique au kilomètre… On n’est est pas là, mais la route est si bien tracée au cordeau, balisée, qu’en l’absence d’images ce qui rentre par une oreille s‘enfuit vite par l’autre.
2 out of 5 stars
Milio Latimier On imagine RGW se dire « À quoi bon ? Je lance Score-o… » Ah zut, j’l’ai déjà faite ! C’est mieux que l’autre. L’écriture et la trame sont bien plus solides, même si ça reste trop convenu dans le genre action/espionnage. Aussi divertissant qu’oubliable en raison d’un manque cruel de caractère.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Bon, alors ça commence par un hommage à « Viens, je t’emmène au vent » de Louise Attaque et ça continue par tous les tropes actuels de la musique de film, crescendo-decrescendo qui ne vont nulle part, ostinato qui ne vont nulle part, déflagrations de percussions samplées et d’électro bas du front qui ne vont nulle part. Quelle misère.
1 out of 5 stars
Christophe Olivo Encore un produit standard Netflix. Des acteurs connus, une histoire banale, tout ça sent le faisandé… Et comme ce bon Rupert Gregson-Williams fait dans le score Media Ventures d’époque, on a l’impression d’avoir vu et entendu ça déjà 1000 fois. Souvent en mieux. J’en peux plus.
1 out of 5 stars

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