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Outre un beau thème principal à l’apparente simplicité mélodique qui rappelle les manières d’une Debbie Wiseman, c’est avec beaucoup de mesure que le compositeur souligne ce drame familial, lui apportant une touche de thriller romanesque à la fois trouble et légèrement mélancolique rehaussée par les interventions du violoncelle soliste.
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Notre lorientais préféré se balade entre drame, mystère et mélancolie pour illustrer cette enquête policière télévisuelle. Cette B.O. permet de croiser Lydia Shelley et son violoncelle, une paire d’œuvres classiques et quelques plages additionnelles signées Benjamin Guigue-Rodet. Un peu au-dessus de la concurrence.
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D’un côté, des plages d’ambiance quelque peu translucides, aujourd’hui indissociables de la B.O. Bon. Mais de l’autre, un superbe thème principal porté par les cordes (dont le violoncelle de Lydia Shelley), et une émotion à fleur de peau qui nous attire dans son tourbillon douloureux. En bonus, des Gluck et Fauré beaux à pleurer.
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Quand on laisse l’un des meilleurs compositeurs français à l’image faire ce qu’il veut avec un orchestre et de vrais gens dedans, ça donne une des plus belles musiques de l’année (déjà). Nul doute que cela enrichit le discours visuel de la série ! Et il y a même un CD qui est sorti !
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Kermorvant sur une mini-série franco-française. Encore. Comme d’habitude le compositeur breton s’en sort fort bien, avec un vrai talent pour installer une ambiance.
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