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Musique finement mesurée distillant une aura de magie au travers de climats variés, certains intrigants à la manière d’un Thomas Newman, d’autres plus emphatiques mais le tout toujours conçu en injectant beaucoup de relief dans les orchestrations. La mélodie centrale, d’inspiration très « spiritual », aurait peut-être mérité d’être plus affirmée.
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S’il est surtout connu pour ses œuvres classiques, Abels semble s’être pris au jeu de la B.O. ces dernières années. Ce court score (26 minutes pour 19 morceaux !!!) s’avère bien agréable, même s’il lui manque le petit truc en plus… Peut-être tout simplement un supplément de magie ? Mais je ne boude pas mon plaisir et profite du moment.
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Pour cette comédie, Abels dispense de très jolies touches de magie, où les éléments percussifs fins appuient la dimension americana afro-américaine. Le ton plutôt léger n’exclut pas des moments de tension dramatique, et on se laisse volontiers séduire par la palette instrumentale jamais surproduite.
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Ambiance magique oblige, le score de Michael Abels navigue entre célesta, harpe et quelques envolées de chœurs relativement discrets. Malgré quelques ostinatos « faciles » et des staccatos venus de la période 90’s de Thomas Newman, le charme opère tout de même.
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Plaisant. Le film a l’air vraiment très intriguant et donne furieusement envie pour ma part. Michael Abels, le compositeur qui tombe Peele, apporte une touche intéressante qui fait parfois penser au travail de Thomas Newman quand elle est plus intimiste.
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