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Si le thème principal et ses arrangements présentent un aspect Media Venture des 90’s sympathiquement rétro à défaut d’autre chose, la mélodie la plus réussie reste celle empruntée au « récent » Now & Then des Beatles. Pour le reste, les soupes de Balfe se suivent et se ressemblent, la lourdeur sonore étant au rendez-vous comme toujours.
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Pour ce quatrième film situé dans l’univers de Kingsman, Margeson et associés s’effacent pour laisser la place à Balfe. Comme souvent, le compositeur pose ses petits cailloux sur un chemin déjà bien balisé. L’efficacité des 90’s ! Si cette musique d’action est finalement agréable à écouter, avec un ton plutôt décontracté, elle est aussi grandement oubliable.
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Nouvelle mission pour Balfe et ses hommes de main. Le thème héroïque atteint sa cible. Ça dépote cool ici et là. On baille souvent devant la non-musique de salle d’attente habituelle, attendant un meilleur qui se fera rare. Un peu Bond, un peu M:I, pas rodique mais pas loin. Mission : à-demi accomplie.
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Le nouveau Balfe peut se résumer à des ostinatos sans fin et des harmonies montantes et descendantes sans but. Rien d’inhabituel chez lui. Mais le pire dans tout ça, c’est que malgré la présence de deux « thèmes », on finit la première écoute sans avoir rien retenu. Balfe fait de la boue bien collante avec cet Argylle, mais on le lui demande surement.
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Foutraque. Un peu comme ce qu’est capable de faire Balfe. Niveau action c’est un peu le croisement entre le Bond de Hans et son propre Mission: Impossible, parfois rehaussé d’une pointe de fantaisie. Niveau romance, il y a de belles choses mélodiques. Et de temps en temps, un morceau complètement frapadingue et original fait dresser l’oreille !
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