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Combinant une indéniable noirceur et une certaine violence des sentiments de l’amour et de la vengeance avec son sens inné du panache héroïque, Horner offrait une partition d’aventure récréative, pleine de vitalité et de passion, sous influence du flamenco et des grands maîtres Albéniz, Ravel et Falla. Cliché et rentre-dedans mais très divertissant.
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« Hola mis amigos, yé viens vous dire touta mi affectioné per ceté grandé música ! Avé cé 79 minutas, l’albouma dé 98 n’avé rien dé honteux, mé esta nueva presentación apporta une sorta d’accomplissamenté. En el puro stilo di Horner, la música (Mama mia, quela tema !) es bondissanta, misteriosa y sexy. Una grandé et buena música !! »
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El disco original era famoso, mais quand on aime le flamenco symphonique en 5.1, le capa y espada et les espagnolades avec canción de amor à la Rózsa, on ne compte pas. En 1998, Jaime Horner et ses bretteurs livrèrent un opulent opus opératique qui ne se présente plus, il est ici complet, alors bas les masques : ¡En guardia, señores!
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Horner au plus haut de sa créativité (des morceaux d’action qui décrochent la mâchoire), de son romantisme échevelé (hispanisant et coloré, on dirait du Rózsa !!!) et de son talent pour varier les orchestrations. S’il vous plait, compositeurs de films d’aventures d’aujourd’hui, écoutez attentivement ! J’aime au plus haut point.
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Ça virevolte, ça défouraille, ça part vers les sommets de la musique d’aventure. Horner avait complètement cerné le personnage. Il y avait des manques pour les complétistes, voici la totale. Un vrai plaisir de redécouvrir ça, même si la première version me suffit. Il semble que tout Horner va ressortir en expanded, les ayant-droits se frottent les mains.
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