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La grande force de ce score tient d’abord dans son aspect ludique, parfois cartoonesque, et ses splendides et riches orchestrations. Pour le reste il s’agit de l’un de ces melting-pots qui jalonnent la filmographie d’Horner, lequel profitait autant de ses propres râteliers que de ceux des autres, Raymond Scott en tête ici mais aussi Rota, Grusin, Elfman…
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« Chérie, j’ai agrandi la playlist ! » s’est exclamé un des responsables d’Intrada. Truculent, exaltant, sautillant, excitant, jazzifiant et émouvant, ce délicieux score de James Horner, devenu un des rois des rééditions, est bien sûr un « must have » pour tous béophiles. Après, à chacun de voir si les quelques minutes supplémentaires méritent le ré-achat.
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« Dis maman, elle est pas morte la fourmi, hein ? » De par ses emprunts (dont Rota, génialement vampirisé), sa vitalité et sa brillance, le talent de peintre musical sensible à chaque instant, cette B.O. d’Horner est, elle, immortelle. Pas sa plus séminale, ni la plus chérie, mais impossible de réduire la note.
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On aura entendu à peu près tout et n’importe quoi sur ce score. Que Horner avait voulu copier Elfman. Puis Rota. Puis lui-même. Peut-être un peu tout ça. Ce qui est sûr c’est que cet expanded offre l’occasion de réentendre un score aux orchestrations magistrales et à la maitrise dynamique splendide.
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Un score qui est sorti très tardivement à l’époque. Du Horner bondissant et plein de peps. Intrada rallonge sa sauce, faut pas gâcher. Sympa mais pas indispensable en cas de première mouture.
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