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Même si on ne peut s’empêcher de penser que le thème central s’inscrit dans la lignée de celui de Desplat pour The King’s Speech, la courte contribution suave et (é)mouvante pour piano et cordes du talentueux Cyrille Aufort séduit par son aspect à la fois sensible, chaleureux et joliment lumineux, une approche fort adéquate pour le sujet.
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Un score romantique, qui oscille entre joie et tristesse, où les sentiments des deux personnages affleurent à chaque note. Le thème est vraiment très beau, même si j’ai l’impression d’avoir déjà entendu une musique similaire ailleurs. Une courte et jolie partition, que l’on se plaît à écouter encore et encore.
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Intimiste, ample quand nécessaire : bénéficiant de moyens orchestraux à la hauteur de son talent et du récit (pas toujours évident pour un téléfilm), Cyrille chante haut et fort – mais pas trop – l’amour de ce couple, les drames, les fêlures, le temps qui passe. Cette finesse classique ne passionnera pas tout le monde, mais le ton est idéal pour ce film.
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Émouvante. Discrète mais lyrique. La musique de ce Clémenceau, dominée par les cordes et le piano, réussit l’exploit d’être quasiment toujours mélodieuse, harmonieuse, empruntant parfois des sentiers hornériens et silvestriens bien venus (on pense à la légèreté et l’innocence de Forrest Gump). J’aime.
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Courte musique, thème très beau, un peu répétitif et entêtant. Le compositeur choisit la douceur pour dépeindre cette histoire d’amour hors du temps. Joli. Après sa très belle collaboration avec Lavilliers et son escapade en terre glacée avec Luc Jacquet, Aufort termine son année en toute beauté !
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