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Dix saisons résumées en un seul album, voilà la seule vraie bonne idée de cette parution tant l’illustration de cette série n’est qu’un catalogue des poncifs de la B.O. dite moderne : thèmes solennels patriotiques, trame électro-orchestrale au mieux insipide au pire irritante, sans compter un Honolulu du XIXème qui sonne comme un mauvais POTC.
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Album bien tardif. Le thème de Morton est toujours aussi génial (même stéroïdé) mais n’apparaît ici que trois fois : trahison ! À part quelques pièces sympas au ton léger et accents jazzy, le reste vire à l’action-drame-suspense lambda. Quelqu’un comme feu Daniel Licht aurait fait bien mieux…
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Douze ans après la sortie d’un album de chansons et trois après l’arrêt de la série, voilà que déboule le score… que peu de monde attendait. L’écoute s’est avérée être une bonne surprise, grâce à un programme assez varié, mêlant action, diverses références, jazz et comédie. Cela dit, on attend surtout une belle édition de la musique de la série originelle.
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Au début, d’étranges zimmérisations pirato-caribéennes côtoient un ensemble qui surprend par son refus de lourdeur (la reprise du thème) et une recherche d’émotion. Comme toujours, plus la tension monte, plus on se noie dans l’électro-tartinage balourd, malgré des plages cool. Étranges variations de ton… Ma note est donc une moyenne.
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Ça commence par un massacre perpétré par le lourdingue Force Blonde et son acolyte du thème de Morton Stevens. Le reste est à l’avenant : thèmes fonctionnels (trompette, piano et une voix plaintive pour les moments « tristes »), des infrabasses, des rythmes zimméroïdes, et tous les poncifs actuels de la musique au kilomètre.
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Remake sympa d’une série qui avait mal vieilli. Le thème de Morton Stevens est bien sûr là, reboosté pour l’occasion. Si les morceaux d’actions sont fonctionnels, c’est surtout le côté comédie et romantisme qui fait finalement passer un bon moment à l’écoute de cette musique.
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