Rambo: Last Blood (Brian Tyler)

UnderScorama • Publié le 15/10/2019 par

Rambo: Last BloodRAMBO: LAST BLOOD (2019)
Compositeur : Brian Tyler
Éditeur : Lakeshore Records
Format : Digital
Date de sortie : 20/09/2019

2.5 out of 5 stars
Florent Groult On avait accueilli Brian Tyler avec une certaine bienveillance pour le précédent volet, mais cette fois, on ne saurait mâcher ses mots pour décrire cette nouvelle partition franchement lourdingue et bien peu ragoûtante qui ressort chaque thème sans passion : exhiber un couteau de combat aussi émoussé, franchement, Brian…
1 out of 5 stars
Pierre Braillon La continuité est assurée par la reprise des si beaux thèmes de Goldsmith… passés à la broyeuse de l’actioner moderne le plus bourrin, et parfois parés d’un héroïsme plein de chœurs et de violonnades qui paraissent particulièrement déplacés dans l’univers de Rambo.
2 out of 5 stars
Franck Le Roux Mon Colonel, c’est la guerre ! Lorsque Rambo sort de sa retraite, c’est pour faire couler le sang. Tyler l’a évidemment bien compris. On a donc affaire à une musique rageuse et puissante, qui sait se faire plus subtile… car Rambo est aussi un homme sensible. L’écoute est plaisante, même si l’esprit des scores de Goldsmith s’est perdu en route.
4.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Tyler reprend, comme pour l’opus précédent, les thèmes de Goldsmith (en particulier ceux du troisième) en les incorporant à son écriture un peu carrée. Il y ajoute ses propres thèmes (tous issus du précédent film) où les percussions dominent avec, cette fois, des harmonies un peu plus convenues et une touche de synthé pas très appropriée.
3 out of 5 stars
Christophe Olivo Premier Rambo pas vu au cinoche… Alors un thème qui pulse et intègre le motif de Goldsmith, et puis… du remplissage qui ne fait que très rarement sursauter l’oreille. Ou alors si, mais uniquement quand ce sont des reprises des thèmes originaux.
2 out of 5 stars
Elendil Clairement le type de partition de Tyler qui me laisse totalement froid. Ça bourrine pendant 75 minutes qui paraissent en durer le triple et au bout du compte qu’est ce qui reste, je vous le demande ? Les reprises fugaces des thèmes de Goldsmith, toujours aussi évocateurs après presque 40 ans. Rien ne vaut l’original mes amis.
2 out of 5 stars