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Au côté d’un brin de suspense nocturne (avec un beau duo de flûtes notamment) et quelques chinoiseries, c’est bien entendu l’ambiance irrésistiblement embrumée de jazz néo noir avec clarinette et piano solistes qui retient l’attention, dotée d’une mélodie barryesque à souhait à laquelle on ne peut que s’abandonner corps et âme.
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Je dois traverser une période « Barry », pardonnant ses travers (tempo lent, variations minimales) pour mieux apprécier ses mélodies et instrumentations. Chaque nouvelle sortie (ou presque) me séduit. C’est encore le cas avec cette séduisante partition de film noir pour piano, clarinette et cordes.
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Dashiell Hammett + film noir = jazz ! Voilà une équation que j’aime. Ce nouveau CD complète l’édition Prometheus sortie en 2000 et redonne au score ses lettres de noblesse. C’est à la fois classieux, mélancolique et vénéneux. Quant aux quelques ambiances asiatiques, elles apportent une jolie bouffée de fraîcheur et d’exotisme.
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Barry, film noir : on devine ce qu’on va entendre. Et on l’a. Si être surpris n’est pas dans vos priorités, cette composition enfumée – entre Body Heat et Cotton Club, temporellement et stylistiquement – saura titiller le privé tapi en vous, au cœur des années 20, à condition d’apprécier les musiques de source mêlées au score.
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Un Barry jazzy, moins lancinant que d’habitude, je prends. Bien sûr, on reconnait immédiatement la patte du compositeur, notamment dans les passages de suspense, mais l’atmosphère film noir, avec piano, clarinette (et sa réverbération volontairement marquée) et trompette de circonstance, emporte immédiatement l’adhésion.
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Je ne connaissais absolument pas cet opus de John Barry, ni le film de Wim Wenders. Eh bien c’est d’une « coolitude » absolue ! Tout y est, et on voit à travers les notes le privé old fashionned écrire son histoire. La classe, quoi.
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