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Les développements les plus familiaux (avec piano) ou merveilleux (avec chœur) évoquent Horner tandis que le thème principal renvoie plutôt aux manières d’un Debney, mais Mayrand a suffisamment de bouteille pour que sa charmante illustration captive fort agréablement par sa plénitude orchestrale portée par des pupitres tous très expressifs.
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Malgré un formidable mais lointain The Legend Of Silkboy, Mayrand s’est fait rare. Quelle belle surprise que ce Mosley, démontrant une nouvelle fois son talent de musicien-conteur, soucieux de plonger progressivement l’auditeur dans le récit et à son aise dans un classicisme enchanteur.
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Alain Mayrand, dont je ne connais que le chouette score pour The Legend Of Silkboy, a composé, orchestré et même dirigé l’orchestre pour ce film d’animation néo-zélandais datant déjà de 2019. Il nous offre un joli score élégant, sensible, facétieux et aventureux. Je constate que, une fois encore, c’est l’animation qui nous procure de beaux moments.
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C’est Mayrand, on dirait du Horner, me suis-je dit très souvent. Voilà de la musique d’animation pour âme d’enfant au classicisme assumé, puisé à la source post-romantico russo eighties. Un fort sentiment de déjà entendu persiste tout au long, mais s’offrir du bio (zéro pollution par zimmérisation) c’est déjà bien beau.
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Maynard est un compositeur qui se revendique de la composition « old school. » Et il ne ment pas, le bougre ! Richement orchestrée, avec des thèmes, des modulations, des changements de rythme, des inflexions inattendues dans les développements, sa musique fourmille de détails… à l’ancienne. Vite un CD !
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Film d’animation, une quête initiatique avec des bestiaux pas bien définis… Le compositeur canadien prend la chose très au sérieux et livre un score « old school » orchestral, très appliqué, avec beaucoup de cœur, et de chœurs ! Le résultat est vraiment épatant dans le genre, et cette sortie tardive – le film a plus de 3 ans – vaut vraiment le coup !
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