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Il y avait certainement une infinité d’outrances à éviter pour ce film, et Bouhafa semble s’être sorti de tous les pièges en alliant l’aspect souriant d’un jazz manouche qui n’est pas sans renfermer un petit côté Cosma et la simplicité pure d’une tendresse sensible qui, par moment, évoque plutôt les approches d’un Desplat. Auditeur heureux donc.
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Sa brièveté (moins de 23 minutes) n’enlève rien au plaisir d’écoute de cette partition légère et délicate, jubilatoirement acoustique, emplie d’une poésie nostalgique doucereuse, voire onirique sur l’avant-dernier morceau.
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Si comme moi, vous ne connaissiez que Le Sommet des Dieux, vous allez être sacrément surpris par le nouveau travail de Bouhafa. Ce très court score bénéficie d’une festive ambiance jazzy, tendance manouche, bien fun et ludique. A l’écoute de cette musique qui rend gai, je suis assurément devenu un homme heureux !
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Certes, le score est bref (les besoins limités du film en matière de narration, sans doute). Mais il compense sa courte durée par une joie lumineuse qui fait souvent appel au jazz façon Django Reinhardt, manouche et dansant. C’est frais, mélodieux et espiègle. Vraiment dommage cette brièveté…
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La nouvelle B.O. d’Amine Bouhafa dont j’avais adoré Le Sommet des Dieux. Alors c’est très court mais encore une fois très bon ! Bouhafa se glisse à merveille dans les chaussons de la comédie de mœurs avec beaucoup de maîtrise. Un compositeur à suivre.
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