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Entendre un large orchestre sonner de cette manière fait évidemment toujours plaisir en un sens, mais l’emploi ad nauseam du pastiche, pillant abondamment les œuvres étoilées des trois J (John-Jerry-James), est devenu plus un boulet qu’un atout passée l’amusante et régressive première saison. La singerie a tout de même ses limites.
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Quel mastodonte, plus de 4h30 de musique ! Et quel pied, notamment à l’écoute de l’épisode qui ouvre les hostilités signé Kaska. Lui et McNeely signent mes passages préférés de cette saison. Les clins d’œil appuyés continuent (vers Williams notamment) et participent à la bonne ambiance générale.
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277 minutes pour… 10 épisodes ! Bravo !! J’adore les musiques de la saison 1. J’adore les musiques de la saison 2. Et logiquement, j’adore les musiques de cette saison 3. Ça pétarade dans tous les coins de la galaxie, avec des touches de mystère, d’émotion et d’humour ! Voilà pourquoi j’aime la musique pour l’image. Et sinon, le coffret CD ?
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Kaska, encore plus biberonné aux williamseries que McNeely et les autres, est finalement celui qui capture le mieux l’esprit aventureux de la série et se hisse sans mal au niveau des meilleurs morceaux des deux premières saisons. Sa musique virevolte et n’ennuie jamais une seconde. Et les vieux briscards tiennent encore le coup !
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J’avais eu beaucoup de mal à noter l’opus 2. Du beau boulot, de l’orchestral rutilant pour une série, mais le pastiche, tout classe soit-il, avait eu du mal à passer. Et là… Si Debney et McNeely font se qu’ils savent (bien) faire, que dire du travail de Kaska ? J’ai juste l’impression d’écouter un bon vieux Williams d’époque. Carrément. Et rien que pour ça…
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