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Un troisième opus plus dramatique qui offre à McNeely l’occasion de convoquer le souffle de la grande aventure, dans la tradition classique de Williams, avec un féérique feu d’artifice orchestral suffisamment rare pour l’apprécier à sa juste valeur quand il se présente à nous.  |
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Cette fois, Joel McNeely profite des situations de cette troisième aventure pour élargir franchement les frontières de son approche initiale avec de beaux élans, de nouvelles mélodies ciselées et un parfum de musique anglaise.  |
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Et donc pouf, un autre album McNeely / Fée Clochette, toujours aussi merveilleux et inventif. Euh… les mecs, il serait peut-être temps de lui donner un bon gros blockbuster estival, non ?  |
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… en mode celtique, en mode bucolique, qu’il neige ou qu’il fasse chaud, à dos de souris, sur un bateau pirate ou que sais-je encore. M’enfin, ça fait plaisir aux petites filles et c’est bien là l’essentiel.  |
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Bien plus sautillant, aventureux, dramatique, bref plus vivant et prenant que l’autre. L’ombre de Hook de Williams est aussi très présente. Si vous hésitez entre les deux McNeely du mois, prenez celui-là, oui-da !  |
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De loin le meilleur des trois opus déjà édités. McNeely lorgne plus du côté des compositeurs anglais comme Vaughan-Williams que vers l’esprit celtique qui marquait les deux premiers scores. La musique est aussi plus dramatique.  |