Conversation (The) (David Shire)

UnderScorama • Publié le 15/03/2023 par

THE CONVERSATION (1974)
Compositeur : David Shire
Éditeur : Silva Screen Records
Format : CD, LP & Digital
Date de sortie : 17/03/2023

4 out of 5 stars
Florent Groult Ô merveilleuse parcimonie ! Imposé par Coppola, le piano solitaire et économe se révèle un choix idéal pour cerner la psychologie du personnage central. Et cet indéfinissable et entêtant air de ragtime au ralenti, se pourrait-il qu’il soit une réponse paranoïde au Entertainment de Joplin redécouvert l’année précédente sur The Sting ? Indispensable.
5 out of 5 stars
Milio Latimier Classique du minimalisme jazzy (et paranoïaque) des années 1970, son thème principal inoubliable vous emballe autant qu’il vous hante. D’ailleurs, toute la partition parvient à vous happer sans relâche, à l’aide d’un seul piano (et à peine plus). La précédente édition épuisée, il était temps de ressortir ce joyau.
5 out of 5 stars
Franck Le Roux Le CD Intrada de 2001 étant épuisé, cette nouvelle édition remasterisée est bien sûr une bonne nouvelle. On y retrouve le goût de Shire pour le jazz… mais aussi les ambiances intrigantes. Le thème au piano est mémorable et vous trottera longtemps en tête. Info people : à cette époque, Shire était le beau-frère de Francis Coppola, réalisateur du film.
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Bien avant Grusin pour The Firm, Shire s’est essayé à illustrer ce film avec un piano bluesy. Si le thème principal retranscrit assez bien l’atmosphère générale de l’espionnage à l’ancienne, ses nombreuses itérations et les quelques morceaux plus atmosphériques rendent l’album moins passionnant à écouter que son point de comparaison.
2.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Ressortie d’un score atypique. Coppola avait exigé du piano solo (à peine troublé par un rythme jazz), Shire composa avant les images et le réalisateur diffusa la musique sur le plateau. Ce piano entêtant, et ses effets parfois à la limite de l’audible, ne peuvent s’apprécier réellement qu’à l’image. Hors contexte, c’est une autre histoire.
3 out of 5 stars