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Le capital sympathie du super cochon d’Inde ne se dément pas, le constat est d’ailleurs à peu de choses près le même : une fois de plus, la musique orchestrale familiale et colorée d’Aaltio ne manque pas d’entrain, et, sans briller outre mesure, surclasse en fait celles de bon nombre de productions super-héroïques actuelles soit disant plus ambitieuses.
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Ayant adoré le score pour la première aventure de Super Hamster, je suis évidemment ravi qu’Aaltio soit à nouveau de la partie. Le finlandais Panu, rien à voir avec Abu-Dabi donc, livre un score orchestral à l’ancienne, léger, enlevé et héroïque. Voici de quoi vous mettre le sourire aux lèvres. Dommage qu’il ne bosse pas sur les héros DC/Marvel.
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Aussi aimable que le rongeur du visuel, la musique d’Aaltio joue sur du pelage soyeux : c’est du sup’ héro mignon écrit à l’ancienne, Madame, de l’héroïsme qui virevolte, qui fait sourire, et sans ajout de graisses inutiles. Un score ravigotant, quoi. Et ces vrombissantes Valkyries !
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Aaltio reprend ses thèmes et en rajoute de nouveaux pour cette suite tout aussi divertissante. Il y a rajoute de nouvelles touches d’électronique et de sonorités variées (accordéon, sifflement, chœurs…). La comédie le dispute toujours à l’héroïsme avec un entrain communicatif, sans nous plomber les tympans.
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Suite des aventures de la petite finlandaise qui se transforme en… super rongeur. Ça c’est du pitch ! Le très intéressant Aaltio remet le couvert, et c’est toujours d’un très bon niveau orchestral et thématique, même si ça n’atteint pas les sommets de ses musiques pour documentaires. Vu le niveau du film à illustrer, il s’en tire super bien le Panu.
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