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Rythmiques entreprenantes (industrial), sonorités lumineuses (light) et figures aériennes (magic), JNH semble avoir pris le sigle ILM à la lettre pour nous offrir nombre de séquences entraînantes et ludiques et d’autres plus introspectives voire nostalgiques. Dommage que le recours aux samples orchestraux gâche la fête.
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Cette courte série documentaire retrace l’histoire d’ILM, la machine à matérialiser les rêves. Musicalement, c’est léger et aérien, voire sautillant, avec une touche de magie. Il y a aussi une sorte de folie douce, qui doit bien coller avec les images. L’album nous offre 28 minutes de JNH et 13 minutes dues à trois autres compositeurs.
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Musique de documentaire au ton enchanteur, mais peu surprenante. Usant d’électronique et d’échantillons orchestraux, ce qui l’empêche d’atteindre l’ampleur et la force voulue par endroits. Les passages pop-jazz sont les plus divertissants… Vu le sujet, je m’attendais à plus ambitieux.
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Lumineuse, cette musique de documentaire l’est dans ses meilleurs moments, sans doute pas autant que les grandes créations d’ILM, mais elle suit d’un pas joyeux les efforts de ces artisans émérites. JNH compense des moyens limités en captant l’excitation de l’instant, les désillusions aussi, et finalement convainc à défaut d’émerveiller.
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Pour patienter en attendant son Willow, JNH illustre un docu Disney sur ILM. Et c’est super bien ! On retrouve le JNH un peu jazzy des débuts avec un chouette piano et des passages plus orchestraux typiques du compositeur. Ecouté pendant ma promenade quotidienne dans la cambrousse et c’était parfait ! (oui, je raconte ma vie !).
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